Le groupe de français est constitué de 12 jeunes âgés de 16 à 20 ans, comprenant 10 filles et 2 garçons ; à l'origine, le groupe était constitué de 14 jeunes dont 2 garçon en plus ; ces derniers se sont désistés dernièrement, nous souhaitons néanmoins déposé la demande pour 13 jeunes car l'un d'entre eux est en réflexion (à la date de dépôt du dossier, nous n'avons pas sa réponse) ; de plus, les burkinabés sont au nombre de 13 et nous souhaitons mettre en place une correspondance entre ces jeunes.

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Ces jeunes sont issus principalement de mileux ruraux, isolés des grandes villes et résident dans des familles aux revenus moyens.

Certains sont lycéens, d'autres en préparation de concours (infirmier et social) ou encore en orientation professionnelle.

La majorité de ces jeunes n'a jamais participé à des actions solidaires ; certains ont pu participer à des opérations "bol de riz", des parrainages d'enfants du Sud.

Au cours de la préparation, les jeunes ont obtenu des informations sur le Burkina Faso, et connaissent les réalités socio-économiques du pays.

Concernant les problématiques Nord-Sud, des sujets comme les flux migratoires, la survie alimentaire, l'accès à l'emploi sont connus de jeunes ; la préparation entamée va permettre d'approfondir leurs connaissances de tenants et aboutissants de ce type de problématiques à travers des jeux, des lectures, des expositions, par ex. : "Partir", visionnage de documentaires, leur participation à des modules de formation au RESIA et au CRIDEV.

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La proposition est venue en interne de l'Arouéven, des jeunes membres y ont répondu ; ont alors été examinés leurs motivations, expériences, et possibilités d'engagement.

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L'élaboration du projet ne s'est pas effectuée avec les jeunes, le fait que les discussions et échanges remontent déjà à Avril 2012, une écriture s'est alors mise en place entre les coordinateurs du projet ; nous préférions avoir des éléments concrets et affinés avant de le comuniquer aux jeunes, que ce soit au Burkina comme en France.

Le groupe de volontaires français, encadrés de deux adultes, participe aux réunions de préparation, s'investit dans toutes les phases du projet.

Depuis novembre, ces jeunes réfléchissent aux tâches à effectuer et sont repartis en groupes de travail autonomes :

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​Des bilans et retours sont effectués après chaque action.​

 

Une à deux réunions hebdomadaires est organisée ; les jeunes sont parfois en autonomie sur ces temps.

Un planning a été élaboré avec les différentes actions de récolte de dons. Il y a pour chaque action, un ou deux responsables jeunes.

Un jeune est chargé de la trésorerie, accompagné par un adulte.

Une correspondance individuelle est organisée entre 2 jeunes franco-burkinabés ; les contenus, la fréquence sont au bon vouloir des jeunes ; l'envoi d'un courrier minimum par mois a été fixés.